The Sorcerers' Tales
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Gabrielle C. de Volanges

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Invité

MessageSujet: Gabrielle C. de Volanges Gabrielle C. de Volanges EmptyDim 12 Aoû - 16:32
Gabrielle Cécile de Volanges
« Une petite citation ~ »




— Âge : 15 ans.
— Surnoms : Gaby
— Année : 5ème année
— Date et lieu de naissance : 26 juin 2006 à Canterbury.[/i]
— Statut de Sang : Née-moldue
— Situation Sociale : Modeste
— Origines : Françaises
— Avatar : Emma Roberts

— Patronus : Un labrador. D'une certaine manière, c'est l'animal que Gabrielle aimerait être. C'est un animal doux, gentil, affectueux et heureux quand on en prend soin.
— Épouvantard : Son père de nouveau dans le coma. Ayant déjà vécu cette péripétie, elle se sent vaccinée. Mais au fond d'elle-même, elle sait bien qu'elle aurait du mal à l'accepter.
— Amortentia : Une odeur de vanille mélangée à de la peinture fraiche.
— Baguette Magique : Sa baguette magique est sculptée dans un bois d'acajou qui entoure un fin poil de licorne sur une longueur de 25.5 centimètres.
— Familier : Aucun animal.
— Particularité(s) : Gabrielle a une peur incontestable des bus et des voitures, du moins quand elle est passagère.

Vie de Famille
« Une petite citation ~ »


Ma famille? Son histoire commence il y a de ça la création de l'être humain. Après s'être développé, l'homme arriva à un point fulgurant de complexité. Ce n'était plus des animaux, ils créaient, inventaient, découvraient. Personnellement, je n'ai pas de précision très précise avant la naissance de mon grand-père.
Les de Volanges ont connu le point culminant de leur existance en 1782 par une de mes ancêtres dans le luxe de la renaissance française. La fortune de la famille s'était peu à peu crée jusqu'à ce qu'elle soit même prise en exemple dans un célèbre roman de l'époque. Cécile de Volanges devenait un personnage majeur de la littérature et créa même un nom dans la capitale.
Cependant la gloire ne dura pas longtemps. Un peu moins d'un siècle. A trop aimer autrui, ma famille perdit peu à peu ses économies. Et pourtant qu'elle n'était pas sa fortune. Rapidement, il ne resta plus que le petit domaine provincial et quelques bien vitaux dans la vie de Volanges. Il n'y avait plus cet impact, cette notoriété. Il n'y avait donc plus ses amis. Il n'y avait plus que la famille en elle-même.
Si aujourd'hui nous n'oublions pas nos racines françaises, nous n'oublions pas non plus la bonté qui nous caractérisait ainsi que les savoirs que nous y avions acquis. Mon grand-père, comme le sien, veilla à la bonne éducation de ses enfants et de ses petits-enfant.
Ce dernier, Henri de Volanges quitta le manoir qui nous restait de nos ancêtres pour la campagne anglaise. Il croyait surement à une renaissance de notre famille. Il vendit le domaine pour une simple maison, nouvelle certes, mais beaucoup moins imposante. Il préféra les restrictions pour le bien-être de sa descendance aux effusions pour son propre bonheur qui ne tiendrait à peine qu'une décennie.
Arrivé dans la ville de Canterbury en compagnie de son épouse, Diane, il recommença sa vie. Il obtint un poste dans une petite usine. Diane ne travaillait pas mais inculquait la dure loi de la vie à ses deux enfants, François et Elise.
François de Volanges, mon père, épousa à ses 19 ans, Mary Drug, une petite anglaise, son amie depuis l'enfance. François était à l'époque employé dans une droguerie dont il devint le patron dix ans plus tard à la retraire de l'employeur. Mary tomba rapidement enceinte et accoucha d'abord de Florent puis, quinze mois plus tard de John. Deux ans et trois semaines séparent ce dernier de ma propre venue au monde. Mes grands-frères sont à présent à l'université. Florent étudie la biologie cellulaire tandis que John se spécialise dans l'histoire depuis peu, bien intéressé par nos racines françaises.

Apparence Physique
« Une petite citation ~ »


Des traits parfois encore enfantins, Gabrielle ne cesse de grandir, ou du moins de mûrir. Ses paumettes sont de moins en moins celle d’une petite fille de huit ans, pourtant encore un peu gonflées. Son visage est à peu près symétrique, bien que si on l’étudie de plus près, son œil gauche donne une impression de hauteur. Cela restant vraiment très discret, mais n’en soyez pas surpris si vous le remarquez. Ce regard est d’un brun prononcé mais restant tout de même d’une grande simplicité. Son nez est plutôt long et fin, s’élargissant avec l’arrivée des narines sans toutefois l’empêcher d’être « normal ». Ses lèvres sont d’une longueur plutôt moyenne et un minimum pulpeuse d’une couleur rosée qui aura tendance à retenir l’attention. Et pour cause, son teint est plutôt blême. Il est bien difficile de prendre des couleurs en Angleterre.
Plutôt petite, elle n’est pas complexée par sa taille puisque sa corpulence est tout à fait respectable. Fine comme le reste de sa famille, elle commence également à prendre un corps de femme. Sa poitrine pousse sans excès, ses hanches sont un peu plus larges qu’avant. Elle a quinze ans, elle se transforme.
D’un point de vue vestimentaire, elle opte plutôt pour la simplicité, enfin quand elle n’est pas en uniforme. Une robe quand le climat le permet, sinon un jean et un tee-shirt feront l’affaire. Elle a un coup de cœur pour les vestes mais sa situation ne lui permet pas de céder à ses envies. Et il faut dire qu’elle n’est pas d’un naturel dépensier. Tout comme elle ne s’est jamais amourachée du maquillage. Un peu de mascara, voir d’eye-liner, rien de plus ne vient s’ajouter à sa peau, et elle s’en satisfait largement. Question capillaire, elle est dotée d’une chevelure blonde qu’elle aime à laisser voler à l’air libre. L’été étant, quelques mèches trop brunes disparaissent, naturellement. La beauté du soleil.

Caractère
« Une petite citation ~ »


Le naturel est maitre mot chez Gabrielle. Elle ne se prend pas la tête. Si elle a envie de plongée en blanc dans une piscine, elle le fera. Pourtant, ce n’était pas gagné. Durand son enfance, Gabrielle était plutôt discrète, ne désobéissait pas et respectait chaque mot à la lettre près. Cela lui a valut une enfance plutôt tranquille. Quelques amis acquis dès les premières années d’école, fidèles au poste. Elle-même est fidèle envers ceux qu’elle estime. Elle a besoin d’eux, elle le sait et fera donc tout son possible pour leur prouver leur valeur avant qu’ils ne disparaissent comme la trainée de fumée d’une cigarette. Arrivée à Poudlard, elle a tout de même réussie une bonne entrée dans la vie sociale et en deuxième année, la vraie Gabrielle apparaissait. Décomplexée de ces années de timidité, elle était elle, et cela valait le détour. Ne perdant pas la générosité de sa famille ni le respect dans laquelle elle a grandit, elle est devenue toutefois spontanée. Et c’est ainsi qu’elle ose faire ce qu’elle veut. Dans cet élan, elle créa également une part de sociabilité, qui, au fil du temps, devint de plus en plus conséquent. Petit à petit, elle se fit découvrir par les membres de sa maison, puis les élèves présents dans ses cours, ainsi que d’autre. Elle n’était plus la discrète petit Gabrielle, et elle en profitait un maximum. N’oublions tout de même pas qu’elle est également passée par une épreuve qui lui a permit de comprendre la valeur de la vie. Maintenant qu’elle la connaît, Gaby prend soin de son existence et profite des instants qu’on lui offre. Avec le coma de son père, sa combativité, sa force intérieure s’est accrue. Elle encaisse mieux les coups, et n’a pas peur de les recevoir. Il faut dire que sa curiosité, parfois maladive, lui a permise d’attirer les foudres de quelques camarades qui la jugeaient bien trop fouineuse à leur gout. Elle n’a pas peur des attaques qu’ils lui font. De plus, sa fierté l’empêcherait d’avoir peur et d’abandonner ses recherches. Peur de l’échec, certainement, mais elle n’a pas peu des étapes. Quand elle fait quelque chose, elle le fait vraiment, elle s’y met presque corps et âme. Ce n’est pas deux ou trois petites remarques cinglantes qui vont l’arrêter. Après tout, elle sait également se montrer désagréable avec les autres, parce que la franchise ne fait pas toujours plaisir, parait-il…Si parfois elle peut avoir un petit air supérieur, non pas par son attitude, mais par son langage, c’est grâce à son éducation. Elle n’y eut rien si son nom a un jour, été, celui d’une héroïne de roman. Et si vous venez savoir d’où vient ce charme étranger, elle vous enverra gentiment sur les roses. Ma vie, mon passé, mon ascendance ? Tu l’oublies. Le plus important sont les moments actuels, et ça, elle l’a compris en grandissant, comme toi, tu comprendras que si elle ne veut pas, elle ne veut pas.

L'Histoire d'une Vie
« Une petite citation ~ »


Mrs Mary de Volanges.

Vous décrire le bonheur que je vivais à la naissance de ma cadette, Gabrielle est si facile. J’étais mariée depuis six ans, j’avais deux petits chenapants de quatre et deux ans. Ils iradiait ma vie par leur présence. Il faut dire que je n’ai jamais vraiment travaillé. Me mariant à Dix-neuf ans, je n’avais pas eu le temps d’avoir un vrai poste, juste un job de serveuse dans une petite brasserie de la ville. Je n’avais pas tellement d’économie. Mes parents avait un revenu plus que moyen et je n’avais donc pas le plaisir de leur emprunter quelques livres si nous en manquions pour faire les courses. Mon tendre époux, François était employé dans la droguerie de la ville. Il avait un salaire pour le moins satisfaisant pour un couple. Bien installés, j’eus rapidement le bonheur de tomber enceinte. Si cela était un grand plaisir, le porte-monnaie familial n’était pas très rassuré.
Je quittais mon emploie deux mois avant l’accouchement pour ne plus jamais le reprendre. Florent naquit. J’étais tellement heureuse d’être mère, moi qui depuis petite avait toujours eu envie d’un petit-frère ou d’une petite-soeur. François récupéra de vieilles affaires de son enfance, gardés dans un bon état, sous le conseil de son père. Il y avait tout ce dont nous avions besoin, berceau, vêtements, jouets. Il ne nous restait plus qu’à acheter couche, lait et biberon. Cela rassura beaucoup François qui avait peur que nous ne tiendrions pas le coup financièrement.
Quand John vit le jour, nous fûmes encore plus heureux qu’avant. C’était fou comme un enfant pouvait procurer du plaisir, alors deux. Après ses quatres mois, on l’installa même dans la chambre de Florent qui allait bientôt avoir deux ans. Henri, le père de François m’apprit qu’il ne fallait pas être trop gentil, trop souple avec les deux garçons. Ce qu’il fallait c’était à la fois de la discipline, des moments de partages en famille et un apprentissage des valeurs telles que la respect d’autrui et la raison. Bien. Ce n’était pas un environnement que je connaissais vraiment, mais je m’habituais vite. Déjà le jour du mariage, je compris que les de Volanges avait une façon d’être particulière, loin de celle de ma famille. Mais cela leur donnait un charme. Et je savais que je serais fière d’avoir des enfants de Volanges, j’avais confiance en leur futur.
C’est dans cet environnement que je mis au monde Gabrielle. Blonde, comme ses frères, elle avait tout de l’ange que l’on attendait. Un fille adoucirait un peu la maison où je n’étais que la seule représentente de la gente féminine. Naturellement, elle n’éviterais pas l’éducation qu’on avait jusque là réservé aux garçons. Fille ou non, elle restait une de Volanges et je tenais à présent à ce qu’elle soit ainsi traitée.
C’était une enfant douce, timide. Elle ne parlait pas beaucoup. Quand elle entra à l’école, elle fut également très dicrète. Elle se fit deux amis, une fille et un garçon. C’était facile pour eux de s’entendre puisqu’ils étaient tous les trois dans la même classe et habitaient le même quartier. Le soir, il m’arrivait de recevoir les deux copains en attendant le retour de leur mère. J’avais gentimment proposé cette solution aux parents qui était plus raisonnable que de les mettre dans une garderie où de l’argent leur serait demandé. Moi je faisais ça gratuitement, et les enfants pouvaient jouer ensemble.
Deux amis, voilà à quoi se résuma sa vie sociale. Elle était pourtant gentille, douce. Le problème venait d’elle. Ce n’était pas réellement un problème. Elle était timide et n’adressait la parole à personne ou presque. Nous pensions que croiser du monde lui ferait du bien. A ses six ans, nous l’inscrivèrent dans un club de basket. Elle jouait plutôt bien, au niveau des autres jeunes filles. Mais toujours rien, pas d’amies en plus. Elle ne nous donnait pas les cartons d’invitations aux fêtes d’anniversaires. Je les retrouvais parfois dans la poubelle. C’était désolant mais je le découvrais trop tard pour l’obliger à s’y rendre.
Ayant obtenu le commerce de son ancien employeur, François n’avait toutefois pas les moyens de prendre un employé. Il invita donc nos charmants jeunes hommes à l’aider à travailler après l’école. Ces derniers connaissait la deception de leur grand-père s’ils refusaient d’obéir. Si bien qu’ils apprirent à vendre, à reconnaitres les produits que demandaient les clients. Ils apprirent vite et s’y firent rapidement. Ce qui me surprit le plus n’était pas cela, mais la volonté de notre frêle Gabrielle à vouloir faire comme eux. Elle fut donc également conviée à venir au magasin, mais simplement pour regarder. Deux ans plus tard, elle vendait les outils à des hommes d’une quarantaine d’année sans reculer devant le contact social. Pour une fille timide, elle était bien trop à l’aise. Mais ce qu’elle préférait, ce n’était pas vendre, c’était découvrir les articles: à quoi servent-ils? Et on peut réparer un evier avec ça? Père, je ne voies pas comment vous pouvez faire...Expliquez moi.
Peu de temps avant ses onzes ans, à un mois à peu près, nous primes la route pour rendre visite à Elise, la soeur cadette de François, marraine de John. Nous allions y fêter son anniversaire, avec une semaine d’avance, certes. L’après-midi se déroula incroyablement bien, et je n’entendis pas une seule fois mon beau-père râler d’un mot dur à l’oreille. Les enfants jouèrent tranquillement avec leurs cousins. Nous reprîmes le chemin de la maison vers dix-huit heures. Tout se passait bien quand François perdit le controle du véhicule qui nous prejeta sur le côté. Dans son élan, elle se retourna, fit un tonneau. Nous essyèrent de nous dégager, je fus la première. Du moins c’est ce que je croyais puisque Gabrielle était déjà ejectée de la voiture. Pourtant, elle ne pouvais pas le faire seule puisque les garçons eurent besoin de mon aide. J’appela les secours avant de sortir mes deux enfants resté dans l’habitacle. François ne bougeait pas. Je fus prise de panique, j’avais l’impression que les secours n’arriveraient pas à temps. Un homme s’arrêta sur le bas côté et courrut jusqu’à nous mais n’arriva pas non plus à extraire mon époux. Ce fut seulement cinq minutes plus tard que j’entendis une sirène et que l’on vint à notre secours. L’inconnu resta à côté de mes enfants tandis que je tremblais pour François. J’avais peur du pire, je ne sentais pas mes larmes couler. Je ne comprennais pas ce que l’on me disait, je ne voyais que mon mari, allongé sur une civière, se faire transporter dans le camion. On nous conduit à l’hopital pour nous faire des examens. Mais tout ce à quoi je pensais, c’était François qui ne bougeait pas.

****

Assise sur un fauteuil entre John et Florent, je ne comprennais pourquoi mon père ne disait rien. D’ordinaire, quand il se passait quelque chose de grave, il venait nous voir et nous annoncer que tout allait bien, qu’il ne fallait pas s’inquiéter. Ma mère était avec lui dans une chambre et une infirmière. On ne voyait pas à travers les rideaux. Mes deux frères lisaient des livres, sans rien dire. De temps en temps ils se lançaient des regards, je le voyais bien, ils s’inquiétaient. Et ce n’était pas bon signe. Je les connaissais bien mes frères, ils étaient plutôt du genre tranquille, à ne pas s’en faire.

-Pourriez-vous me dire ce qu’il se passe?


J’avais craqué. Cela devait arriver d’une seconde à l’autre. Et c’était maintenant. Florent allait me répondre quand ma mère sortie de la pièce. Elle avait des yeux rouges, rouges de douleur, de peine. Mais que ce passait-il? Elle vint nous prendre dans ses bras, tous en même temps. Cela ne lui ressemblait pas, ou du moins pas dans un lieu public. Nous avions pour habitude d’être discrêt, de ne pas se laisser aller aux effusions. Elle nous lacha et nous demanda de nous asseoir. Elle nous expliqua ensuite que notre père était dans le coma. Je ne comprennais pas trop. Elle m’expliqua qu’il dormait, qu’il mettrait du temps à se réveiller, cela pouvait avoir lieu demain comme dans deux ans. Nous ne savions pas quand, mais il se réveillerais.

Deux jours plus tard, tandis que nous prenions notre petit déjeuner, ma mère me regardait d’une étrange façon. Puis tandis que nous discutions mes frères et moi d’un livre que je venais de terminer, ma mère me posa une question. Comment étais-je sortie de la voiture? C’est vrai ça, comment? Je ne le savais pas moi même. Je lui expliquai donc que sans comprendre pourquoi, tandis que la voiture se retournais, la porte s’ouvrit et me projetai hors du véhicule et je retombai sur le sol dans une chute douce. En m’écoutant, je me rendis compte que cela était impossible, j’avais l’impression d’être folle.

En revenant de la boutique où nous remplacions notre père, John alla chercher le courrier dans la boite aux lettres tandis que je mettais la table pour diner et Florent s’empressait de réchauffer un plat de la veille. Il n’était pas si tard, mais la journée nous avais épuisés et nous avions même du faire l’inventaire de fin de mois. Demain, nous irions voir mon père à l’hopital, où ma mère passait ses journées. Je posais le premier verre sur la table quand John fit son apparition dans la pièce.

-Gabrielle, il y a du courier pour toi. C’est étrange, la lettre dépassait de la boite aux lettres, je n’ai jamais vu ça, surtout qu’il n’y a que peu de courier.

Il me donna l’enveloppe et je le remercie. J’étais surprise de recevoir une lettre. Moi? Mais de qui. Je n’identifiai naturellement pas l’écriture élégante à l’encre verte. En retournant l’enveloppe, je fus surprise de voir qu’elle était fermée au sceau. Cela était rare. J’y lisais difficilement Poudlard. J’entrepris alors d’ouvrir le papier, pressée de savoir ce qu’elle me réservaitt. Je lus à haute voix.

«Cher Miss de Volanges,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d’ores er déjà d’une inscritpion au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, chère Miss de Volanges, en l’expression de nos sentiments distingués.
»

Je n’eue le temps de regarder la seconde feuille, Florent me l’avait prise des mains. Il la regarda brièvement.

-Ce doit être une farce. Des chadrons, des plumes, du parchemins. C’était comme si on te prennait pour une...sorcière.
-Et bien regarde en haut de la lettre. C’est écrit « Docteur en magie runique ».

Et voici qu’un mois plus tard, je me retrouvais dans une grande salle, impressionnante aussi bien par sa taille que par sa beauté. Au loin, je voyais un grand chapeau, posé sur un tabouret. J’étais à Poudlard, une école de sorcellerie. Dans le train, j’avais été en compagnie de deux garçons et d’une fille, je leur avait à peine parlé, je les écoutais parler. Ils devaient déjà étudier dans le château puisqu’ils avaient l’air de bien se connaitre, et ils parlaient déjà des professeurs. Serais-je la seule à ne rien savoir de l’école, ni de ce monde. J’avais peur d’être une mauvaise élève. Et pire que tout j’avais peur que mon père ne se réveille pas. Je pensais à lui, tout le long du voyage. Il était toujours plongé dans ce coma et je m’en allais. Je partais en Ecosse, chez des inconnus tandis que lui était allongé sur un lit, depuis quatre mois.

J’entendis mon nom. Comme mes camarades précédent, je rejoignis le tabouret où je m’assis rapidement. Tout le monde me regardait, j’étais la cible de leur curiiosité. J’entendis réfléchir le chapeau. Oui, le chapeau. C’était un monde étrange, je m’en étais aperçus en faisant mes emplettes. Sans que je m’y attende, il cria POUFSOUFFLE et une table applaudie. Je la rejoignis, me souvenant qu’après ce nom, tous les élèves s’y rendaient. J’avais rapidement compris que c’était des maisons, qu’elles étaient au nombre de quatre, mais le reste m’échappait.

Je me fis des amis plus rapidement que d’ordinaire. Les gens étaient très gentils et je découvrais de nouvelles choses tous les jours. Dire que Florent croyait à une blague...Je comprends enfin pourquoi j’ai agis d’une étrange manière quand on a eut l’accident, puis quelques autres fois, moins importantes cependant. Il parrait que c’est parce que l’on ne sait pas encore se contrôler. Je pensais tout de même énormément à mon père. Mes frères, ma mère, m’envoyaient des lettres, j’avais des nouvelles de tous le monde mais à chaque fois, j’attendais LA bonne nouvelle qui ne venait pas. C’est même grace à cela que je fis la rencontre, ou du moins, que je pris le temps de discuter avec Duncan MacFusty.

Duncan, d’un an mon cadet, était à Poudlard, non pour apprendre la sorcellerie puisqu’il n’avait pas encore l’âge légal pour assister au cours, mais il vivait au château. C’était le fils de deux professeurs. Mr MacFusty était mon professeur de défense contre les forces du mal. Sa mère, je ne la connaissais que de vue, je ne pouvais pas encore étudier sa matière, l’étude des moldus. Duncan était quelqu’un de très attentionné, il passait don temps à me faire rire pour éviter que je ne pense à mon père. Et je sais que de tous ceux qui ont essayé de m’aider, c’est lui qui y a mit le plus de force, et le plus d’entrain. S’il n’avait pas été là, au lieu de vivre un peu mes premiers mois, je les aurais subit.

Rentrée pour les vacances de Noël, je découvris une maison décorée humblement mais qui me faisait plaisir. Mais la plus belle des surprise n’était pas les chaussettes accrochée à la cheminée, c’était l’homme assit dans le fauteuil juste à côté. Cet homme riait, chantait , vivait, cet homme c’était mon père, et il était bel et bien là. J’étais tellement heureuse de le voir. Je ne réfléchis pas et lui sauta dans le bras, sous le regard de mon grand-père qui le toléra. C’était Noël, mon père était présent, il devait comprendre le bien que cela pouvait me faire. J’étais tout de même mécontente du fait de ne pas en avoir eu vent avant. LA première chose que je fis après avoir rangé mes affaires, c’est envoyer un courrier à Duncan qui m’avait précédemment souhaité un bon réveillon. Son oiseau était resté une dizaine de minutes à me regarder écrire. Je lui annonçait la fameuse nouvelle.

Ce retour aux sources m’avait profondément changé. Je compris le bonheur qu’était de revoir mon père, en vie. Il fallait que je profite de lui. Cela voulait donc dire que je devait profiter de tout, puisqu’il y avait toujours un risque pour que je vienne à la perdre comme j’avais presque perdu mon père pendant sept longs mois. De retour à Poudlard, je me mis en tête de devenir quelqu’un. Je ne serais plus la mignonne petite Gabrielle qui ne dit rien, qui n’ose pas aller vers les gens. Je serais celle qui aiderait ceux qui en avaient besoin, qui oserait dire ce qui n’allait pas. A vrai dire, c’était un peu comme si je devenait une autre, et cette idée me plaisait.

Avec mon incroyable aisance, je pris le temps de me faire de nouvelle connaissance et surtout de m’ouvrir un peu aux autres. Intrasèquement, les autres ne savent presque rien de ma vie, Duncan, oui, naturellement, deux ou trois autres élèves, en plus. Je suis devenue, non pas honteuse sur mon passé, aussi bien propre que sur ma famille, mais discrète. Autant avant quand je me faisais un ami il connaissait tout de moi, mais à partir de ce nouveau départ, je pris le temps de découvrir avec de me confier. Finalement, cela ne regarde que moi. J’ai compris la nature humaine en grandissant, et les mauvaises intentions, les rumeurs et les trahisons.

Mais je ne crains rien, absolument rien. Prête à ne pas me laisser faire, j’ai également mon garde du corps attitré, j’ai nommé Ty Crayford. Rencontré peu de temps après ma renaissance, j’ai eu vent qu’il s’est attaché à moi, autant que moi-même je me suis attachée à lui. Je vous accorde qu’il est complétement idiot et barré, mais c’est plus fort que moi. J’ai essayé de ne plus l’aimer, et cela pourrait être facile vu qu’il me protège un peu trop à mon goût, mais ça ne fonctionne pas. Du moment ou je vois sa petite bouille souriante, je lui pardonne tout et redeviens la bonne petite fille prête à tout pour l’aider. Je me demande comment il va réagir quand je vais lui dire que je vais postuler au poste de batteur dans l’équipe de quidditch. Logiquement très bien, mais sait-on jamais, il ne pourra pas surveiller les méchants messieurs qui seront dans l’équipe, enfin si je suis prise, ce dont je ne doute pas vraiment.

J’aurais peut-être une dernière chose à préciser. Je ne connais finalement pas toutes les sous-couches de l’histoire sorcière qu’elle soit ancienne ou actuelle, j’en ais eu des vents. Je n’ai rien contre les sangs-purs, il faut bien le comprendre, mais je sais qu’on ne doit pas avoir honte de s’avouer vaincu. Je serais bien mal placé pour prétendre le contraire. Il y a toujours un temps de gloire. Comme ce n’est qu’un temps, il prend fin à un moment ou à un autre. La fin de la gloire, de la renommée, du pouvoir des sangs-purs est arrivée, ils doivent en prendre conscience avant de prendre une position qui leur serait néfaste.

Derrière l'Écran
« Une petite citation ~ »


— Pseudo : Bucky
— Âge : 18 ans
— Région : NPDC
— Personnage inventé, PV ou scénario ? Personnage sur Mesure.
— Multicompte ? -
— Comment nous as-tu trouvés ? PRD m'dame.
— Quelque chose à ajouter ? Si tout vas bien, on va gagner la médaille d'or olympique de hand dans peu de temps ♥
— Code du Règlement :


Dernière édition par Gabrielle C. de Volanges le Lun 13 Aoû - 16:00, édité 11 fois

Alexandre D. MacFusty

Messages : 115

Rappeltou
Statut de Sang : Mêlé
Baguette: Bois de cèdre, ventricule de coeur de Noir des Hébrides, 30 cm, très souple et très solide.

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Alexandre D. MacFusty
Personnel de Poudlard

MessageSujet: Re: Gabrielle C. de Volanges Gabrielle C. de Volanges EmptyDim 12 Aoû - 16:34
Bienvenue jeune fille !

Alors comme ça tu nous as trouvé par PRD? *_* Une recherche, ou juste un petit oeil sur nos pubs?
Bwahahah /o/
En tout cas, courage pour ta fiche o/ Staff toujours présent pour te donner un coup de patte o> Du monde sur la CB pour t'accueillir aussi il y a, do not hesitate ~

Fergus McMillan

Messages : 285

Rappeltou
Statut de Sang : Sang pur
Baguette: Plume de phoenix, 21cm, bois d'aubépine.

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Fergus McMillan
Personnel de Poudlard

MessageSujet: Re: Gabrielle C. de Volanges Gabrielle C. de Volanges EmptyDim 12 Aoû - 21:40
bienvenue parmi nous !

Choixpeau Magique

Messages : 338


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Choixpeau Magique
Choixpeau

MessageSujet: Re: Gabrielle C. de Volanges Gabrielle C. de Volanges EmptyLun 13 Aoû - 16:20
Remarques vis à vis de la fiche :
Attention à tes conjugaisons ~ Ton passé simple est un peu bancal, tu te perds dans les terminaisons (-ai, quand c'est un verbe du premier groupe conjugué à la première personne, par exemple).



« Que de générosité ! Je vois de grandes qualités de coeur dans ton âme, beaucoup de gentillesse, de spontanéité ~ Fais attention à ne pas te faire avoir, jeune fille, certains pourraient vouloir en profiter !
Je ne vois qu'une maison où tu sauras t'épanouir comme il se doit, et cette maison sera... »

Gabrielle C. de Volanges 120714112327566144
Poufsouffle !

Tu peux d'ores et déjà aller faire un tour dans la partie rp du forum qui s'ouvre à toi ! N'hésite pas, avant toute chose, à faire ta fiche de liens et ta fiche de rps ~
Le staff t'encourage également à aller faire un tour du côté des concours et des défis, pour voir ce que les animations que propose le forum, et y participer !
N'hésite pas non plus à aller faire un tour sur la ChatBox pour faire connaissance avec les autres joueurs de The Sorcerers' Tales !

Bienvenue, et bon jeu ~

https://thesorcererstales.forumactif.fr



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Gabrielle C. de Volanges

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