(M) Stephan Uquhart ft. Frank Iero

Stephan P² Uquhart

« L'argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue grandement. »

LIBRE

— Âge : 16 ans
— Maison : Serpentard
— Année : 6eme année
— Statut de Sang : Sang-pur
— Situation Sociale : Célibataire ; Pauvre
— Origines : Ecossais
— Particularité : Il est en échec scolaire et a pu avoir ses BUSEs de justesse. Ce n'est pas qu'il est bête, c'est juste qu'il n'arrive pas à gérer ses problèmes personnels et qu'il se concentre trop dessus au lieu de ses études.
— Avatar : Frank Iero
— Son Positionnement par rapport à l'Intrigue : Stephan est pour le mouvement d'ouverture, principalement parce que cela permet d'atteindre les familles Potter et Weasley, auxquelles il voue une rancune particulière. Et puis pour lui, l'ouverture aux moldus permettrait d'asseoir la supériorité des sorciers, ne croyant pas vraiment à l'égalité.

À Savoir

« Tel est pris qui croyait prendre. »

Héritier de la famille Uquhart, il a été élevé dans la tradition de la valeur du sang et du respect des traditions, et ce malgré le fait que son père soit à Azkaban à cause de ses actions de Mangemort. Entouré de sa mère et son grand-père, il nourrit une certaine haine contre les Potter et les Weasley qu'il juge comme responsables de l'enfermement de son père. A son entrée à Poudlard, il est réparti à Serpentard où il parvient à trouver une place toute relative, décidant de rester un peu à l'écart des autres, se posant en observateur passif, alors que ce n'est pas du tout son truc. Il se lie tout de même malgré lui à quelques élèves qu'il se plaît à manipuler, selon lui, mais se montre souvent trop emporté et gaffeur pour y parvenir réellement. Il ne l'admettra probablement pas, néanmoins en réalité ce sont de vrais amis pour lui.

Dans l'ensemble, Stephan est un garçon qui a des capacités certaines, néanmoins, à cause de sa situation familiale, sa mère ne travaillant pas et son grand-père non plus, il n'arrive pas à se concentrer sur ses études. Il voulait, à l'origine, quitter Poudlard une fois ses BUSEs passés, mais sa mère l'a poussé à poursuivre, en lui disant que de toute façon, s'ils avaient pu tenir seize ans, ils pourraient attendre encore deux ans de plus pour pouvoir obtenir un revenu régulier grâce à Stephan. Sa mère et son grand-père se reposent en effet totalement sur lui, et lui mettent une pression énorme, qui le bloque. Il essaye d'ailleurs de compenser en s'en prenant aux Weasley ou aux Potter, ou à quiconque il n'apprécie pas, régulièrement, sans vrai succès là aussi, ce qui le frustre énormément.

Ses Liens

« Il n'y a point de gloire ni aucun mérite à battre un adversaire diminué. »

Ty est un jeune homme de Gryffondor, de son année, auquel rien n'aurait dû le lier. Et pourtant... Ils se connaissent plus que bien, puisqu'ils se fréquentent, si on peut dire ça dans la mesure où ils passent plus de temps à se battre qu'à discuter vraiment. Mais bon, ce sont des hommes, et parfois, le langage des poings peut être bien plus parlant que tout autre chose. Et très sincèrement, parfois Stephan aimerait réellement mieux le connaître. Pas qu'il semble être intéressant. Mais il a un truc, il ne saurait pas dire quoi, mais... comme on dit, ce qui sépare la haine de l'amour n'est pas plus épais qu'une feuille de papier.

Alexandre MacFusty est le professeur de Défense Contre les Forces du Mal. Il ne le supporte pas, et trouve qu'il s'y croit un peu trop, tout ça juste parce qu'il vient d'une famille – pardon, d'un clan – de gardiens de dragon. Bon, d'accord, il est compétent, surtout qu'il était auror autrefois, mais il n'empêche qu'il abuse carrément de son autorité à retirer des points à tout va et à donner des punitions si dégradantes... Professeur à ne pas chercher donc, même s'il ne l'aime clairement pas.

(M) Stephan Uquhart ft. Frank Iero Liliana_mumy_315617611

Lily est à Serpentard, et c'est une Potter. Autant dire qu'aux yeux de Stephan, ce n'est pas franchement compatible. Il passe donc pas mal de temps à lui faire des coups bas dans la salle commune, en profitant d'être en sixième année pour avoir le dessus. Et il n'en éprouve absolument aucun remord. C'est toujours mieux que rien pour lui.