The Sorcerers' Tales
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Quand on sent l'homme, le vrai ! || Alex & Dun

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Matthew E. Scott

Messages : 31

Rappeltou
Statut de Sang : Sang-mêlé
Baguette: Bois de Sapin, crin de licorne, 26,4cm

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Matthew E. Scott
Personnel de Poudlard

MessageSujet: Quand on sent l'homme, le vrai ! || Alex & Dun Quand on sent l'homme, le vrai ! || Alex & Dun EmptyMer 25 Juil - 11:11
Vous ne vous êtes jamais demandé ce qu'un professeur faisait pendant ses vacances ? S'il partait à la plage, s'il restait chez lui, pépère, à regarder la télé (ou dans le cas de notre monde sorcier, à suivre des matchs de quidditch à la radio). Si, on se l'est tous demandé. Qui sont ses professeur qui chaque année nous transmettent leur savoir et leur envie d'apprendre. Ou nous pourrissent tout simplement la vie, mais ça... C'est encore une autre histoire. Et bien là, vous avez l'occasion d'obtenir une réponse réelle de comment vos professeurs peuvent bien passer leurs vacances. Et ça risque d'être plutôt intéressant à découvrir.

Mardi 17 Août 2021

La veille, Matthew était revenu en Angleterre, après un mois passé à gambader dans des terres reculées. Plus précisément, dans des terres reculés en Inde, où il avait alors l'occasion de ré-expérimenté un certain nombre de choses. Pouvant aller du voyage à dos d'éléphant, de la méditation dans des lieux grandioses, j'en passe et des meilleures (qui a parlé de tigre?), il n'avait pas vraiment eu le temps de s'ennuyer à travers son périple au pays de Gandhi, très sincèrement. Et il en avait gardé plus d'un souvenir, dans tous les sens du terme. Déjà, il était revenu bronzé. Fait rare pour notre cher Anglais, surtout dans la mesure où il passait toute l'année dans Poudlard en tant que professeur et n'avait pas vraiment le temps d'aller se dorer la pilule au soleil. C'est d'ailleurs pour ça que la plupart du temps, pendant l'année scolaire, il attrapait des coups de soleil comme de rien. Il faut dire il passait pas mal de temps à préparer ses cours et voyait vraiment rarement le soleil. En revanche, inexplicablement, pendant l'été, il bronzait. Sans doute était-ce parce qu'il prenait le temps de s'occuper de sa peau, du fait qu'il était en vacances, mais très sincèrement, ça n'avait jamais vraiment été sa préoccupation principale, du coup il ne le faisait pas vraiment. Bref, il avait donc ramené un bronzage du tonnerre. Mais pas que. Il avait également avec lui de nouvelles idées pour ses cours, mais c'est pas ce qui nous intéresse. Non, ce qui nous intéresse, c'est le reste. Car oui, il avait ramené des souvenirs pour ses amis, et dans le cas d'Alexandre, pour son fils aussi. Mais ça, le professeur ne le saurait probablement pas, étant donné ce que Matthew avait dans l'idée de lui offrir. Mais c'était là encore une autre histoire. Quant au cadeau pour Alex... Nous allons y venir.

Pour l'heure, il devait retrouver l'écossais sur les rives du Loch Ness, non loin d'Inverness, afin de se lancer dans une petite randonnée entre homme. Enfin, presque. Puisque Duncan venait aussi. Bah, c'était presque un homme le bonhomme. Ils auraient bien fait venir Shaton, mais sans doute ce dernier était-il encore perdu dans sa Suède natale, sans doute coincé dans un musée ou il ne savait trop quoi en rapport avec la matière qu'il enseignait. Peut-être était-il en train de draguer sinon... Bah, il leur raconterait bien en revenant. Il avait intérêt du moins. Comme ça il pourrait raconter son voyage en Inde et quelques situations plutôt epic, mais ça... Il se le réservait pour quand ils seraient les trois. Surtout que là, ça allait être randonnée et camping sauvage. Ca allait être tout bonnement génial ! La nature, les champignons, la nudité... Hé, n'allez pas vous imaginer des choses non plus, hein. Simplement, il y avait fort à parier que Matthew profiterai de l'isolement pour se détendre comme il le fallait.

Bref. Après s'être préparé, mettant ses chaussures de randonnée et son sac sur ses épaules, il regarda autour de lui pour s'assurer qu'il n'avait rien oublié. A priori, c'était bon... Nice. Il transplana donc jusque non loin du point de rendez-vous, dans une petite ruelle sombre protégée par des sorts afin de permettre aux sorciers de pouvoir y transplaner sans avoir à se soucier de rien. Et ça marchait bien visiblement. Il n'y avait personne. Il quitta donc la ruelle pour accéder à une artère principale de la ville. Il devait retrouver les deux MacFusty à la sortie de celle-ci, et ils iraient ensuite en voiture jusqu'au lieu de départ de la randonnée, qu'il avait laissé libre de choix à Alexandre. Pourquoi y aller en voiture et pas directement y transplaner ? Parce qu'ils voulaient faire ça bien, à la moldue, comme des hommes. Grunt.

Il arriva rapidement sur le lieu de rendez-vous, un parking un peu éloigné du centre ville. Regardant autour de lui, il repéra bien vite son ami et son fils qui attendaient, appuyés contre la voiture dAlexandre. Etait-elle loué ou s'agissait-il de la sienne... Ca, Matthew ne savait pas trop. Il s'approcha de son ami, et alors qu'il l'atteignait, il lui tendit le poing. Bro fist quoi ! Le tout suivit d'une accolade qui transpirait la virilité. Owi, transpirons tout !

- Alex ! Comment ça va mon pote !

Grand sourire, il le regarde. Il se tourne ales vers Duncan et lui fait un check avant de passer sa main dans ses cheveux.

- Et toi bonhomme ?

Bon, inutile de perdre du temps en parlote, ils auraient tout le trajet pour discuter. Même si ça ne serait pas vraiment long, suivant où son ami l'emmenait.

- Allez, on y va, on parlera en chemin.

Il contourne la voiture et va mettre son sac dans le coffre, pour ensuite s'installer côté passager à l'avant. IMaintenant, il n'y avait plus qu'à partir.

- Alors, on va où au juste ?

Il savait que c'était pas loin du Loch Ness, mais il ne savait pas où plus précisément. Il était donc curieux de savoir. Sauf si son ami préférait garder la surprise... Matthew adorait les surprises !

Alexandre D. MacFusty

Messages : 115

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Statut de Sang : Mêlé
Baguette: Bois de cèdre, ventricule de coeur de Noir des Hébrides, 30 cm, très souple et très solide.

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Alexandre D. MacFusty
Personnel de Poudlard

MessageSujet: Re: Quand on sent l'homme, le vrai ! || Alex & Dun Quand on sent l'homme, le vrai ! || Alex & Dun EmptyMer 25 Juil - 12:25
« Attention ! »

Alexandre recule brusquement de plusieurs pas, et le souffle brûlant le rate de peu. Ils sont à dix autour du vieux dragon, et ce dernier n'a aucune envie de se laisser approcher. Rendu aveugle par les années, le Noir des Hébrides, sans doute l'un des plus vieux des alentours, gronde de manière agressive. Baguette à la main, les sorciers l'entourent pour essayer de le maintenir en place. Il s'était blessé à l'aile, et ne pouvait plus se déplacer. Ça avait été une épreuve de l'amener jusque dans la Réserve. Maintenant, ça l'était tout autant de s'en occuper. Il était connu, celui-ci, pour être d'une méfiance extrême, et bien qu'il sente les hommes du clan, ces hommes de confiance qui veillaient sur les siens comme liés par un pacte ancestral, il ne voulait pas de leur aide.

Voici à quoi ressemblaient les vacances d'Alexandre. Entre une semaine en France à surveiller Duncan sur les plages de la Côte d'Azur et à regarder passer les donzelles en bikini, les heures passées à s'occuper des dragons et les frasques d'un adolescent en pleine crise... On comprend qu'il ait choisi de partir deux jours en pleine nature, perdu dans les Highlands, avec un de ses proches amis. Car même hors de l'école, sa vie n'était pas de tout repos.
Cet été avait été synonyme de nouvelles disputes avec son fils, de repas de famille, de spectres fous et de nouvelles brûlures. Mais finalement, il était fin heureux. Incapable de sombrer dans l'inactivité, il avait des vacances remplies et incroyablement apaisantes. C'est que n'avoir qu'un adolescent à gérer au lieu de plusieurs dizaines – centaines même – ça changeait la vie.

Le Dragon étourdi par une salve de sortilèges, le chef du clan, Dáibhidh, s'élance vers la gueule, fiole à la main. La bête se débat, mais trop tard. Si l'homme est envoyé valser et retenu par un sortilège de Coussinage lancé par son fils, la potion est passée entre ses dents, et ne tarde pas à faire effet.
Un pas.
Deux pas.
Le dragon grogne, et ouvre sa gueule. Alexandre voit la flamme naître, prête à lui éclater au visage. Baguette levée, il dresse un bouclier, mais ne récolte qu'une salve mineure, à peine des flammèches ; le dragon s'effondre, endormi. Enfin ils allaient pouvoir l'approcher. Les baguettes se baissent, les hommes soupirent. Les Soigneurs restent, remerciant le coup de main des autres, et la petite bande se divise. Et notre protagoniste se détache donc, prenant la direction de la sortie de la Réserve en coinçant sa baguette dans la ceinture.
Il était tard. Récupérant son fils, Alexandre retourne chez lui. Le lendemain, il avait rendez-vous. Pour deux jours de camping sauvage, avec Matthew, aka l'expert en la matière. Shaton ? Bah, probablement encore en Suède, à profiter du froid encore quelques jours. Quelle idée aussi... Enfin. Par contre, Duncan ne le savait pas, mais il envisageait de l'emmener. Pour le moment, il le laissait croire qu'il allait le laisser à ses grands parents, sadique père de famille.
Passé une certaine heure, c'est le moment de la dispute avec le gosse – enfin, l'ado – pour l'envoyer se coucher. Observant la mer par la fenêtre, café à la main, il réfléchit au plan du lendemain. Dix heures, à la sortie d'Inverness. Avant, il transplanerait sur l'île principale, pour récupérer sa voiture qu'il gardait dans un garage loué. Il avait bien deux heures de route pour rejoindre Inverness... S'il poussait un peu sur le champignon. Enfin, il avait la voiture pour aussi. Une belle berline qu'il affectionnait tout particulièrement. Une française, of course. Peugeot 508, si vous voulez plus de détails. Parfaite pour ce qu'il en faisait.

« Duncan, debout ! » Il entend le gamin râler. Oui, pas content d'être réveillé pour aller chez ses grands parents. Alexandre, appuyé dans l'encadrement de la porte, lève un sac et le laisse tomber par terre. Un sac de Duncan. Plein. Visiblement, Papa l'avait rempli. « Tu as une demi-heure pour te préparer, je t'emmène. »

Pas le temps de laisser le gosse se réveiller, Alexandre file préparer son propre sac, chausse ses chaussures de randonnée, et une fois le gamin prêt, il transplane avec lui jusque sur l'île principale, l'ile de Skye ; il y récupère sa voiture, attrape le ferry pour rejoindre la Grande Bretagne. Et sitôt à terre, il s'installe derrière le volant avec un plaisir qu'il ne dissimule pas. Oooh quel plaisir d'entendre le bruit du moteur et...
Hm bref.
Il vérifie que l'adolescent soit attaché à côté de lui, et à eux les montagnes des Highlands.

Deux heures de route plus tard, Alexandre est appuyé sur le capot de sa voiture, cigarette au bec, regardant plus ou moins discrètement les femmes passer devant lui, en guettant son fils, peut-être en papotant avec lui, allez savoir. Mais l'adolescent doit être encore trop content pour faire sa mauvaise tête. Hey, son premier camping ! Et pas des moindres, le père n'avait pas pris de tente ni rien. Et avec un peu de chance, ils verraient Nessie... Mais seulement de loin. C'est qu'en cette saison, il était nerveux et...
Oh un poing sauvage apparaît. Sans réfléchir, Alexandre lève le sien pour venir frapper gentiment celui qu'on lui tend. Un sourire éclaire brusquement son visage, et il ôte le mégot d'entre ses lèvres pour l'écraser sous son pied.

« Ça va. » fait-il simplement, économisant ses mots en se décollant du capot pour rouvrir la portière et se mettre derrière le volant. Il attend Matthew et Duncan - qu'il envoie s'asseoir à l'arrière, qu'il proteste ou non - démarre la voiture...
Et c'est parti. On sort du parking, tout ça. À noter qu'en 2021, Alexandre roule avec une voiture à boite manuelle, ayant une sainte horreur des boites automatiques. Et hop, la route s'étale devant eux, direction le Loch Ness, son château, ses paysages, ses montagnes... Et il prévoyait de camper sur un bord isolé du lac, au final, près de l'eau.

« J'vais me garer vers le château au bord de Loch... » À noter qu'avec son superbe accent, il prononce 'LoRR'. « … et ensuite, je vous emmène dans les montagnes alentours. Elles sont pas hautes mais escarpées. Et puis on pourra s'installer au bord du lac pour la nuit. »

Et Matthew allait pouvoir se faire plaisir niveau paysages. Et je ne parle pas de la pêche, peut-être même de la chasse au lapin de garenne. Oh oui, ils allaient faire l'éducation de Duncan. Ah ça... Ça allait être beau.
Âmes sensibles s'abstenir.

« T'as sacrément bronzé, sinon. T'es allé te perdre où cette année ? Chili ? Afrique du Sud? »

Le voyage ne serait pas long ~
Mais autant échanger un peu pendant le trajet.

Duncan T. MacFusty

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Duncan T. MacFusty
Gryffondor

MessageSujet: Re: Quand on sent l'homme, le vrai ! || Alex & Dun Quand on sent l'homme, le vrai ! || Alex & Dun EmptyLun 20 Aoû - 17:01
D’une humeur plus que massacrante, Duncan avait passé sa journée à errer dans le Château des MacFusty, déambulant tantôt dans la bibliothèque, tantôt dans la salle des tortures, pour se résigner finalement à prendre l’air, incapable de supporter la sensation d’étouffement.
A l’extérieur, le phénomène fut similaire ; voyant un immense Noir des Hébrides traverser le ciel au dessus de sa tête, la déception ressentie dans la matinée se fit plus lancinante. Sachant que son père prévoyait de partir pour deux jours en camping avec Matthew, il avait espéré que celui-ci lui consacre cette dernière journée avant leur séparation. A la place, Alexandre avait rejoint les autres membres du clan pour s’occuper des dragons, refusant à Duncan l’autorisation de l’accompagner dans l’enclot.
Il eut beau râler et rager, son père n’en démordit pas et l’adolescent dû chercher une occupation pour la journée. Ce ne fut pas une mince affaire compte tenu de son humeur ! La colère avait fait place à la déception, et s’était avec mélancolie qu’il papillonnait d’un lieu à un autre sans parvenir à s’occuper.
Rongé par l’ennui, il finit par s’endormir sous un arbre afin d’écourter cet après-midi sans fin.

Lorsqu’Alexandre le récupéra quelques heures plus tard, il fut accueilli par un adolescent boudeur, qui ne fut guère de bonne compagnie ce soir-là. Loin de son habituelle bavardise, il se terra dans un silence hostile, et dans une absence de curiosité déconcertante.
Il ne l’interrogea pas sur ce qu’il s’était passé avec les dragons ; ni les maux des bêtes, ni les prouesses des hommes ne l’intéressaient en cet instant. Il avala son repas aussi rapidement, répondant seulement aux questions éventuelles de son père, puis se réfugia dans un puzzle récemment offert, jusqu’à l’heure du coucher, où il laissa exploser sa colère de la journée, sous la forme de « Non, j’irai pas me coucher ! ».

Malgré un sommeil reposant, ce fut cette même mauvaise humeur qui accueillit Alexandre au réveil. Il sursauta au bruit du sac frappant le sol et sortit le nez de sa couette pour comprendre ce qu’il se passait.
Cerveau embrumé, il ne comprit pas immédiatement ce que voulait dire Alexandre et resta quelques minutes immobile sur son lit, l’esprit entièrement mobilisé par la scène.

Sac plein ?
Se préparer ?
Emmène ?

Enfin, un sourire radieux prit place sur son faciès avant qu’il ne s’arrache d’un bond de son lit, enfilant le premier caleçon qui passa sous sa main.
Il allait camper.
Il allait camper !
L’amoureux de la nature qu’il était ne pouvait qu’être surexcité à cette nouvelle ! Sans compter que cette fois, il serait avec son père et son oncle ! Ils seraient entre hommes ! Peut-être partagerait-il avec eux un verre de whisky autour du feu, ou aurait-il droit à quelque anecdote humiliante sur son père.

Il ne prêta aucune attention aux vêtements qu’il enfila – un jean sale et un t-shirt troué – et rejoignit aussi vite que possible Alexandre qui l’attendait.

Il allait camper !
Mais quel bonheur !
Y croyant à peine, il hissa son sac sur son épaule et laissa son père le transplaner, avant de partager deux heures de voiture avec lui pendant lesquelles il compensa largement son mutisme de la veille. Il était désormais bien trop excité pour réprimer son naturel bavard, et Alexandre fut certainement saoulé de paroles pendant ce trajet.

Oh, le camping, quoi ! Il avait eu droit à tellement d’histoires sur les camping de son père et de ses oncles que cela relevait du rêve pour Duncan que d’y participer. Il rayonnait de joie et de fierté, conscient de ce que représentait une telle invitation.
Il était un homme, et non plus un gamin !
Tout du moins l’espérait-il, car le salut de Matthew eut tôt fait de le faire chuter de son nuage. Sans aller jusqu’à protester ouvertement, il grimaça lorsque la main de son « Oncle » vint lui ébouriffer les cheveux, et il ne céda qu’une réponse à demi-mot à l’anglais, à base d’un puéril : « j’suis plus un gamin. »

Il retourna à l’arrière de la voiture, et fit preuve d’une réserve peu coutumière venant de lui ; en présence de Shayan ou Matthew, Duncan se mettait immanquablement en retrait, préférant laisser les trois amis se retrouver comme il leur plaisait. Pourtant, il prêta une oreille particulièrement attentive à l’échange à l’avant de la voiture, et un sourire émerveillé vint éclairer son visage lorsque son père annonça la destination.

Il avait toujours rêvé de rencontrer la célébrissime Nessie. Peut-être pourrait-il l’approcher suffisamment pour en étudier quelques aspects, allez savoir ! Voire mieux, se baigner avec elle et la chevaucher comme un Loklass !
Il interrompit ses divagations lorsque la question des vacances de Matt fut posée. Chili, Pérou, autant de destinations exotiques prometteuses de récits fascinants de la part du spécialiste de la métamorphose, que Duncan ne voulait rater pour rien au monde.




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