— Âge : 25 ans.
— Surnoms : Benett, Ben, Lew, Weirdo.
— Date et lieu de naissance : Angleterre, Londres.
— Études : Poudlard.
— Profession : Contrôleur du Magicobus.
— Statut de Sang : Sang-mêlé.
— Situation Sociale : Complètement fauché.
— Origines : Anglais, donc.
— Avatar : Ben Whishaw

— Patronus : Une chèvre. Un animal un peu frêle mais agile, mais qui globalement squatte juste vos plates-bandes. Si on veut être un peu plus sérieux, les significations attribuées à la bestiole s'approchent de l'originalité, tout à fait irrespectueux des règles, des horaires, soit toute discipline et tout le reste mais qui s'adapte toute situation s'il le faut. Pas non plus un prix Nobel, mais une brave bête. Bref, une chèvre.
— Épouvantard : Une nuée de chauve-souris.
— Amortentia : La menthe et le goudron - parce que oui, Benett aime cette odeur.
— Baguette Magique : Pin et crin de licorne.
— Familier : Aucun ?
— Particularité(s) : Lewis fume, beaucoup. Trop. Mais il a pour superbe et très utile habilité de pouvoir faire des formes avec la fumée grâce à la magie.

Maman Benett est née de parents sans la moindre fibre magique, qui a épousé papa Benett, mécanicien moldu. Elle est une écossaise ayant fait ses études à Poudlard avant de travailler en tant que journaliste pour une gazette de sorciers quelconque, rubrique moldus. Elle reste en effet tout à fait attachée à ce monde malgré son éducation magique, et c'est pourquoi elle y traîne suffisamment pour y trouver son âme sœur quand la magie ne suffit pas à réparer son moteur.
Gordon Benett rencontre donc Lydia McKenzie à cause d'une bête histoire de fuite. Elle lui révèle son don relativement rapidement, qu'il prend assez bien. Lewis naît et ils attendent d'économiser avant de pouvoir retourner en Écosse, le petit est donc éduqué à Londres, dans un quartier plutôt modeste. Ils partent habiter non loin de Glasgow une fois que Lewis rentre à Pouddlard. Ce dernier demeure fils unique, jusqu'aux dernières nouvelles. Voilà l'histoire familiale d'un garçon sans histoire.

Le mouvement d'Ouverture ? En soi, Lewis est bien pour dans l'idée. Si on arrive à lui en faire parler, bien entendu, ce qui n'est pas son sujet de prédilection. La politique, plus ou moins, ce genre de choses, ça ne le passionne pas vraiment, il a toujours l'impression qu'on lui complique la vie.
Mais en tout cas, ayant été élevé dans un mélange de deux cultures et deux passions, entre magie et mécanique, il croit que l'association des deux n'est pas impossible, qu'elle pourrait être même plutôt sympathique. Mais la plupart du temps, si on lui demande, il se dédouane, râle et souffle un gros nuage de fumée ; soyons paix, soyons amour.

Il y a des gens maigres et puis il y a Lewis. Il y a ce type de garçon qui nous énerve, qui s'avale des quantités astronomiques de nourriture et ne prennent pas un gramme, ce genre de garçon que l'on déteste. Et puis on a son genre, le carrément chétif. Ça, il l'a toujours été. Mais il faut dire que la plupart du temps, il ne pense juste pas à, à tout hasard, se sustenter, l'esprit occupé à des choses bien plus passionnantes. Ou bien, il n'a pas un gallion dans les poches et fait comme il peut. On ne saurait dire si son allure lui importe malgré tout ou pas. La plupart du temps, il fait tout de même l'effort d'enfiler quelques cardigans, vestons, cravates ou nœud-papillons, de quoi être bien apprêté. Pourtant, ses tissus sont toujours les mêmes, un peu vieux ou carrément élimés, parfois troués, éventuellement reprisés. De rares ourlets à ses pantalons.
Pour ses cheveux, même combat. On distingue un semblant de raie dans ses cheveux, qu'on associe donc à une volonté de se coiffer un peu, mais globalement, l'ensemble plutôt volumineux, sombre, presque frisé, rappelle juste un nid d'oiseaux. Ses doigts en rappelleraient presque leurs serres. Sa posture celle d'un vieux vautour. Mais il ne s'agirait pas de vexer la pauvre bête.

Par certains moments, on pourrait être trompés, et croire que son visage est plutôt droit, bien défini. D'un certain profil, on y croirait presque. Mais finalement, ses expressions et sa définition lui ressemblent bien ; de grandes oreilles, une légère bosse sur le nez, un menton pas tout à fait droit, des lèvres très rouges qui dévoilent une rangée de dent qui ne s'alignent pas toujours. La plupart du temps, on le trouvera avec une légère barbe de trois jours, c'est son minimum vital. Sans ça, on lui demande son permis quand on le voit au volant de son tacos, peu importe son mètre quatre-vingt dix presque atteint – ou atteint, on ne sait pas, s'il pouvait se redresser, ça permettrait à la science de juger. En définitive, à part ça, Lew ne trompe personne, et n'essaie pas le moins du monde : il est aussi tordu à l'extérieur qu'il ne l'est à l'intérieur.

Benett est un gentil garçon, mais ce n'est pas vraiment la première chose qu'on dirait à son propos. La plupart du temps parce qu'on arrive pas vraiment à le capter. Oh non, pas de mystère charismatique et insaisissable à la clé, le jeune homme est le plus évident de tous, pas du genre à cacher le moindre secret – pour la simple et bonne raison qu'il n'en a généralement pas. Mais la plupart du temps, il a l'air de planer à plusieurs kilomètres d'ici, bien au dessus de sa propre tête, son fidèle grand sourire encré aux lèvres. Ben divague, Ben titube, Ben fait de grands mouvements et danse presque à moitié à chaque pas. Il a de l'humour, rigole volontiers de tout et de rien même quand on s'en passerait peut-être, et vous raconte une multitude de blagues dont il oublie généralement la fin, parfois le début – non c'est un sang-pur, le premier ministre et un juif, non, un protestant, dans un avion.
Car mémoire lui joue, il faut bien l'avouer, quelques coups pendables. Il aimera vous expliquer longuement des choses absurdes et bien trop compliquées, pour conclure en vous appelant Sarah si à vrai dire vous êtes Rose. Rien à faire. Lew n'est pas connecté parmi le monde des humains, pas tout à fait à celui de la magie non plus, on cherche encore.

Malgré tout, accordons au pauvre gamin le mérite d'être quelqu'un de plutôt vrai. Outre le fait qu'il soit plutôt nul pour ce qui est de mentir, la plupart du temps, il n'essaiera pas de le faire ; il n'y voit jamais une bonne raison. S'il s'en veut, il l'avouera, si votre présence n'est pas désirée, vous le saurez, si au contraire, il y a des chances que vous ayez une petite réduc' sur votre billet, vous pourrez le déceler sur son sourire.
C'est globalement un bon ami, un peu du genre prêt à donner ce qu'il n'a pas, plus parce qu'il n'a cure de ses possessions ou de la façon dont il dépense son temps plus que par grande loyauté cependant. Et puis la plupart du temps, il apprécie plutôt de rester seul à méditer sur des choses qu'il aura oublié dans la seconde. Curieux et créatif, cela peut l'absorber pendant plusieurs heures. Mais curieux, il peut l'être aussi avec les gens, dans tous les sens du termes, aussi, s'il est poli, il ne manque pas de faire son lot de gaffes en demandant les choses un peu trop directement parfois. N'hésitez pas à lui imposer deux trois limites. Il ne boudera même pas, et pour la plupart, ne les considérera pas, de toutes façons.

Matières obligatoires :
Astronomie → E
Défense Contre les Forces du Mal → D
Sorts & Enchantements → A
Métamorphose → D
Histoire de la Magie → D
Potions → P
Botanique → E
Vol → A

Options :
Soins aux Créatures Magiques →
Etude des Runes →
Etude des Moldus → A
Arithmancie →
Divination → O

— Pseudo : Voltaire.
— Âge : 20 années.
— Région : Lyon, babe.
— Personnage inventé, PV ou scénario ? Inventé.
— Multicompte ? Nope, pas encore~
— Comment nous as-tu trouvés ? *pelote June*
— Quelque chose à ajouter ? Alors euh. J'aime beaucoup votre façon très réfléchie d'installer certaines limites. C'est bien de pas voir des génies comme des Loup-Garous à chaque coin de rue (pareil pour les sang-purs et patronus, tout ça) (enfin bref j'aime beaucoup le forum voilà)
— Code du Règlement :